Devant Jean-Daniel Pollet je m’assoupis un peu, puisque même la beauté qu’il offre, même l’étonnement qu’il procure ne peuvent rien contre ça : souvent je m’endors au cinéma. Autour et entre les films – 9 min et 50 -, celui qui l’a connu parle de lui, du livre qu’il a écrit sur lui, et j’aimerais que ce soit plutôt l’autre parle, celui qui mène la discussion, plutôt bel homme et plutôt beau langage. Mais n’ayant rien noté, il ne me reste rien, rien que cette impression.