Et puisque finalement il n’y a personne, j’entends par là qu’il n’y a pas ceux qu’on attendait, c’est-à-dire ceux que j’attendais l’un à 17h et il y aurait eu des images, l’autre à 21h et il y aurait eu des mots – parce que tout de même il y a eu ce déjeuner, ce n’est pas rien, ni personne – alors le soir je m’enfonce dans le désert, celui d’un film, un de ces films dont tout le monde a déjà parlé et que jamais je n’ai vu, film ovni, film paysage, quelque part vers le rien comme elle disait, Marguerite, encore.
Il y a de nouveau du cinéma, quatrième film en quatre jour. Il y a aussi eu le temps passé sur ce projet qui revient, comme ça, avec tous les doutes qu’il traine. Alors peut-être qu’en ce dimanche, j’en sors aussi, du désert.