Il s’agit de retrouver un rythme, parce que le corps s’affaisse, s’affaiblit, et ça fait pffff. Le rythme du travail, de 9h25 à 18h passées, chaque jour, n’a pas réellement faibli, lui, mais c’est différent depuis peu, sans doute l’esprit est plus libre, moins contraint, alors il a de la place pour ça.
Ainsi sans réfléchir ou si peu, j’y vais, 5 minutes à pieds peut-être, direction rue du Parlement Sainte Catherine, toujours je passe devant la librairie, je jette un œil à la vitrine. Je n’y reste pas trop longtemps, quelques machines, un peu de course, le temps de lutter contre mon corps, lutter en attendant ce moment où la lassitude et une fatigue satisfaisante apparaissent, oxymore sportif. Occis mort ?