Ce sont deux images que j’envoie, l’une est évidente, l’autre trop, les deux partent en pièces jointes d’un message qui dit le doute, la complexité, les croisements où ma photographie se trouve aujourd’hui. Ces deux images déplacent mon travail, elles vont plus loin que ce que je montre là, encore plus loin que par là-bas mais elles creusent ce que le prénom Z, discret, hésite encore à dévoiler. J’aime ça. C’est pourtant un visage, que je montre. Sans le montrer. Encore une histoire d’absence.
L’une des deux photos bientôt sera montrée ici ; j’ai la joie d’y être invité.