Cette langue, qui est maternelle pour moi, paternelle aussi, cette langue que tu maîtrises, est source de question. Ça commence au café, lieu triste mais un dimanche matin que veux-tu que j’y fasse ?
Je n’ai pas forcément les réponses : tu creuses dans la grammaire, dans l’usage du conditionnel et du subjonctif, dans les règles de l’école primaire. Mais tu le sais, j’aime que tu fasses des fautes, j’aime ces imperfections qui s’échappent comme elles s’échappaient d’A, N, Z. Et j’aime tant douter, découvrir et puis ne plus savoir, donc la donner au chat.