Tu ne sais pas quoi faire de ce qui s’échappe de toi, ou plutôt de celui que tu es, sans désir, et qui n’est plus le même qu’avant. Maintenant ça te révulse, tu le dis, tu n’es pas sûr du verbe, mais c’est le mot qui vient. C’est ça que tu dis dans ce message vocal que j’écoute en quittant le travail. Je te réponds, je marche et je te réponds, dans une empathie un peu banale. Je garde aussi ma place, spectateur de cet abandon. Alors tu répètes quatre de mes mots à l’écrit :”Pour les autres aussi“, ajoutant un smiley rieur.