Écrire, cette fois, pour être lu. Depuis quelques jours, je me bats avec moi-même, avec mon style, mes sous-entendus et mes non-dits, pour être édité et donc compréhensible. Je me bats pour garder la musique de mes phrases, ce que je nomme poésie ou quelque chose comme ça, ce truc qui flotte dans ma prose. Je me bats et j’aime cela. J’aime cette obligation de déplacer mes textes et mon histoire avec toi. J’ai pourtant peur aussi.