Alors, sur le petit chemin sombre qui mène à la Villa, je lève les yeux du bitume en me disant que je préfèrerais ne pas croiser un sanglier. Mais à quelques mètres, c’est un cerf qui me regarde, ses bois immenses éclairés par un réverbère… et me voici soudain dans Princesse Mononoké. Il s’éloigne, mon cœur bat sous la surprise et l’émotion et le revoici, là-bas, au coin, qui m’attend, me regarde un instant, bien sûr ne me laisse pas s’approcher, et s’enfuit.
(Tout le reste n’a donc aucune importance à côté de ce moment d’une beauté rare.)