Rangé ici ou là dans l’espoir de quelques minutes de couture, il attendait depuis quelques années une renaissance. Ce nouveau rythme de vie lui a offert du fil blanc, une reprise ici, une consolidation là et un rafistolage approximatif qu’il faudra revoir.
Un fois la nuit tombée, je pars une nouvelle fois à la recherche d’une idée, de quelque chose, de la représentation de cet éloge de l’ombre, du sombre, de l’absence d’éclairage, posant sous le réverbère d’un parc ou attendant sur Senbon que la circulation cesse.